|
 |
Joseph TEYSSIER |

|
poète et
écrivain frontignanais |
|
Le Coucher de
Soleil sur la
Mer
|
Depuis le début de ma carrière « cheminote
», je me suis intéressé à la poésie. Quand je suis
arrivé à Sète, j'ai entendu parler du club « Poésie et
Chanson Georges Brassens » dont je fais partie. J'ai
trouvé là, mon engouement pour la poésie, libre ou
classique et des chansons de Brassens dont je suis
friand. J'ai bien aimé Jean Ferrat, Jacques Prévert,
Richard Antony et tant d'autres. À Frontignan et à
Vic la Gardiole je participe à des ateliers d'écritures
et de poésies qui agrémentent mes loisirs. J'ai
participé à de nombreux concours de poésies, dont j'ai
obtenu des prix. Je ne suis pas un érudit de la langue
française, je mets souvent le nez dans le Bescherelle et
d'autres livres de grammaire. Internet est un puits
rempli de ressources dont j'exploite les
gisements. J'ai
sorti deux recueils de poèmes dont l'un sera bientôt
épuisé. J'ai écrit, en outre, de nombreux poèmes
et même des textes d'atelier que je garde précieusement
dans mes meubles. Avec les ventres bleus, je
m'initie à l'occitan car le patois ardéchois est ma
langue maternelle ; à l'époque, il ne fallait pas
que les enfants en usent. Ça nuisait pour l'école,
disait-on.
La peinture est, un peu, mon violon d'Ingres. Je
trouve dans les images et les couleurs, les fruits de
mon évasion. Comme il y a le festival du roman noir
à Frontignan, celui-ci a captivé ma curiosité. J'ai fait
des essais personnels en me documentant et excusez du
peu, c'est en regardant les films que j'ai cherché les
trames du suspens et en lisant des polars. À la
bibliothèque j'ai souvent trouvé le bonheur de mes
recherches. J'ai un polar en attente. C'était toute
une aventure et l'action se situe dans la Gardiole, je
n'en dis pas plus et un deuxième, peut-être. Soixante
quatorze ans en 2015, je souhaite avoir, encore,
quelques printemps pour m'aventurer sur des terrains
dangereux et garnis d'agréables surprises.
|
 |
 |
|
|
|
|
|
|
|